La crise récente sanitaire impacte sur les organisations qui ont été contraintes de reconfigurer les techniques de travail. Les mutuelles en entreprises permettent désormais de faire la différence. Elles contribuent au bonheur des salariés, mais de quelle manière ?
Bien-être des salariés en entreprise : de quoi il en retourne ?
Le bien-être des salariés est un état qui recouvre deux réalités dont la réalité physique et matérielle d’une part, la réalité psychologique et morale d’autre part. Une fois que ces réalités sont transposées au monde de l’entreprise, elles se rencontrent durant les situations de souffrance au travail. On veut parler de l’épuisement professionnel ou burnout qui se conjugue à l’insécurité de l’environnement du travail. La mutuelle de qualité participe à la motivation des salariés fatigués, on peut les retrouver sur
pro.apicil.com Ainsi, pour définir le bien-être des travailleurs en entreprise, on évoque un sentiment de sécurité et de positivisme que les rapports humains favorisent. Il en découlera un état d’esprit dynamique appuyé par l’impression d’être au bon poste.
Législation et bien-être des salariés au travail
La souffrance au travail a un prix, mais on pense que ce dernier a connu une hausse ces temps-ci. L’entreprise perd beaucoup lorsque la sécurité sociale n’est pas garantie. Pour favoriser l’émergence du bien-être en entreprise et réduire la souffrance au travail, le Code du travail propose l’adoption de différentes mesures qu’il détaille en son article L.4121. Ces mesures comprennent les actions de prévention des risques professionnels, dont ceux qui sont mentionnés à l’article L.4161-1. On retrouve aussi des actions de formation et d’information en plus de la mise en place de moyens adaptés et bien organisés. L’employeur doit adapter les mesures en tenant compte des éventuels changements de circonstances. Il est capital d’améliorer les situations existantes. Toujours est-il que le bien-être des salariés ne se limite point aux calculs comptables. Il faut aussi analyser les RPS ou risques psychosociaux qui peuvent impacter la santé des collaborateurs. Certains vont jusqu’à tenter de se suicider pour ne plus souffrir.
Mutuelle d’entreprise : quid des obligations des employeurs ?
L’employeur est tenu de prendre 50 % du coût du contrat en charge. Les salariés s’occupent de payer le reste des cotisations. L’employeur pour sa part peut offrir une meilleure participation. Il y est quelques fois contraint lorsque l’accord de branche l’impose. Dans ce cas, l’employeur doit prendre plus de 50 % du coût total. Par ailleurs, la complémentaire santé que l’employeur instaure doit couvrir le panier de soins minimum. Cela inclut le ticket modérateur sur les consultations et les prestations que la sécurité sociale rembourse. À cela s’ajoute le forfait journalier hospitalier (prothèses dentaires, orthodontie, forfait optique de 100 à 200 € en fonction du niveau de correction). Pour sa part, l’employeur peut toujours proposer d’autres garanties avantageuses. Tel est le cas des différentes options et des prestations que les salariés cherchent. Ce sont par exemple les services d’assistance (garde d’enfant, aide-ménagère…). Les entreprises doivent participer à la santé psychologique et physique des salariés.
Les avantages de la mutuelle d’entreprise pour le salarié
La prévoyance entreprise est toujours plus avantageuse que la complémentaire individuelle. Les salariés peuvent profiter de garanties plus favorables étant donné que la négociation porte sur des taux de remboursement sur l’ensemble des salariés. Il n’y a pas de questionnaire médical à remplir au moment de la souscription. Si l’employeur souhaite compléter la couverture collective de garanties en plus, le coût engendré sera moindre par rapport à la souscription d’une complémentaire individuelle. Par ailleurs, il est possible de choisir un contrat qui couvre les ayants droits (conjoint, enfants, PACS, concubin…). Les conditions restent les mêmes, mais le salarié pourra partager les coûts avec son employeur. Enfin, il est possible de profiter de la portabilité des droits. Aussi, après une rupture du contrat, on a droit à des allocations chômage. Le salarié peut continuer à profiter de la couverture santé complémentaire durant 12 mois. Il en est de même pour ses ayants droits. De surcroît, la
mutuelle professionnelle est associée à un avantage fiscal. La part des cotisations à la charge du salarié est déductible de son revenu imposable dans la limite d’un plafond que l’administration fiscale va fixer.
Une mutuelle d’entreprise pour séduire les talents
Certaines entreprises se trouvent confrontées à un taux de turn-over assez important. Cela leur fait perdre leur temps. Qui plus est, ce problème se répercute sur le budget global, car un mauvais recrutement coûte trois fois le salaire du recruté. Au moment de l’entretien d’embauche, les sociétés proposent différents avantages en nature aux candidats. La mutuelle d’entreprise et l'épargne retraite entreprise en font partie. Le fait de
mettre en place une couverture santé dans son entreprise attire les talents vers l’institution.